Les mamelles de Nickita

Capsule 4

Il y a quelques années j’avais deux chiens, Newton et Nickita, un couple de dalmatiens qui dés qu’ils ont eu l’âge de procréer nous ont offert une première portée de 10 chiots. 10 simplement parce que les femelles dalmatiens ont 10 mamelles donc potentiellement elles peuvent avoir jusqu’à 10 chiots par portée.

Donc la portée s’est très bien passée, ils ont eu une deuxième portée de 9 chiots, puis une troisième portée, aïe ! 11 chiots. Que va-t-il se passer ?

Et bien c’est très simple ce qu’il s’est passé, c’est qu’à la première occasion Nickita a essayé de tuer ce onzième chiot. Donc nous horrifiés on a récupéré ce chiot, on l’a emmené chez le vétérinaire qui l’a sauvé. Et qui nous a clairement dit que peut-être nous aurions dû le laisser partir, que c’était naturel, Que Nickita n’avait pas les moyens de subvenir aux besoins de ce chiot.

Toutefois nous l’avons ramené à la maison, nous l’avons nourri avec du lait synthétique. Dans les mois qui ont suivi, Lucky, c’est comme cela que nous l’avions nommé, Lucky qui veut dire Chanceux était toujours en retard, il était rachitique, il était maigre, il était souvent malade et Nickita a fait des dépressions pendant le sevrage de cette portée, chose qu’elle n’avait pas faite dans les portées précédentes.

Alors que nous raconte cette histoire.

Et bien cette histoire elle m’a beaucoup appris. Elle m’a appris que la vie savait faire, la nature sait faire. Que Nickita savait qu’elle n’aurait pas les moyens de subvenir aux besoins de ce onzième chiot et que en venant déjouer la mort, en venant interférer dans les processus naturels et bien nous avons favorisé à affaiblir ce chien et à affaiblir peut-être sa race.

Alors si on met ce raisonnement à l’échelle de l’humain et du monde, on peut peut-être se poser la question et avoir des réponses pourquoi nous vivons cette situation aujourd’hui et pourquoi nous en sommes arriver là.

Alors sommes-nous vraiment Lucky ?

Que dois-je faire pour être en bonne santé ?

Capsule 5

Que dois-je faire pour être en bonne santé ?

Ma réponse est simple : « Arrêtes toi, assieds-toi, ferme les yeux et adopte la vision de l’aigle, la vision du Shaman, prend de la hauteur, respire la clarté et poses toi la question : « qu’est-ce que je dois plutôt ARRETER de faire ? »

Dans les sociétés occidentales lorsque nous sommes touchés par la maladie nous voulons trouver immédiatement le médicament, le médecin, le spécialiste qui viendra combattre les vilains symptômes, le méchant virus, la vilaine contagion, la méchante bactérie qui me font peur et m’empêchent de poursuivre mes activités habituelles.

Pour être en bonne santé nous ne devrions pas nous demander quel remède viendra effacer mon symptôme, nous devrions plutôt nous demander : « Qu’est-ce que je dois arrêter de consommer ? de reproduire » pour venir répondre au signal d’alarme matérialisé par le symptôme que mon corps, ma psyché, mon Esprit essaye de me dire et que je n’entends pas ou que je ne comprends pas.

Un symptôme est comme le voyant du tableau de bord d’une voiture qui vient nous dire : stop il y a un problème.

Lorsque cela arrive dans notre voiture, il ne nous viendrait pas à l’idée de prendre un marteau pour casser la lampe du voyant ! Non nous nous arrêtons chez le garagiste pour qu’il aille cherche la source l’origine du problème.

Alors pourquoi ne le faisons-nous pas pour notre santé ? Prendre un remède ou un médicament c’est comme si nous cherchions à effacer le symptôme sans connaitre son origine, sa source.

Lorsqu’un symptôme apparait donnons-nous le droit et le temps de comprendre le message, la nature du déséquilibre qui s’est installer en moi et que mon Être tout entier cherche à me montrer ?! 

Est-ce une pollution extérieure, intérieure, une intoxication, une intrication ancestrale, un traumatisme violent volontairement oublié, une mémoire karmique ou transgénérationnelle ? 

Petit bobo, grande maladie, maladie sociétale, mondiale le raisonnement est le même.

Alors que ce soit Moi, Toi, la société, le monde

 « Arrêtons-nous, asseyons-nous, fermons les yeux et adoptons la vision de l’aigle, la vision du Shaman, prenons de la hauteur, respirons la clarté et posons-nous la question : « qu’est-ce que nous devons arrêter de faire pour être en bonne santé ? »

Ecoute ton cœur ?!

Capsule 6

On a tous lu ou entendu la phrase suivante : Si tu veux savoir si c’est bon pour toi ou non et bien écoute ton cœur et pas ta tête !

Tout cela est bien gentil var parfois on écoute bien et ça ne répond pas !

Prenons un instant pour voir plus clair entre ce qui ce qui viendrait de la tête, du mental du Moi et ce qui viendrait du cœur, l’Esprit du Soi.

Je reviendrai dans une autre capsule vidéo sur ces notions de l’Esprit et du mental.

Pour cela imaginons que nous sommes un diamant pur , et que mes sens captent des informations autour de moi, des paroles, des sons, des odeurs et autres etc. Ces informations transitent jusqu’à mon cerveau de manière parfaitement claire. Je vais pouvoir traiter ces informations et prendre la bonne décision sur ce que je dois penser, dire ou faire de manière parfaitement éclairée et Juste.

Toutefois notre incarnation terrestre, le contexte mondial, à travers nos conditionnements, nos filtres émotionnels, nos croyances limitantes, nos masques sociaux nous pouvons admettre que nous avons de grandes chances que nos pensées, nos paroles et nos actes soit parasités, ne soit pas vraiment Notre réalité, Notre besoin ou Notre désire.

Alors nous allons faire une négociation, un compromis de ce qui est le moins pire pour moi aujourd’hui.

Un chemin de libération et d’élévation spirituel est à mon sens le meilleur des chemins pour clarifier ce diamant. Je vous transmets aujourd’hui une méthode simple qui peut aider dans cette démarche à entendre la différence entre ce qui vient de ma tête et ce qui vient de mon cœur.

Chaque fois que je dois faire le bon choix je me pose la question – par exemple : La méthode que Christophe partage aujourd’hui est-elle favorable pour moi ?

Je me relaxe, ferme les yeux et me centre. Je me pose la question en observant le mouvement de mon corps.

Si mon corps se contracte, l’énergie se serre vers l’intérieur vers le centre alors surement que mon mental, ma tête a fait un compromis et que ce n’est pas la demande de mon Esprit.  

Si l’énergie, s’expanse vers l’extérieur, vers l’autre, alors dans ce cas je réponds surement à la demande de mon Esprit et potentiellement de mon chemin de vie. C’est mon cœur qui parle à ce moment-là.

Alors qui est ce que je choisis d’écouter ?

C’est Moi d’abord ?!

Capsule 1

Est-il juste de s’occuper de soi en premier plutôt que de s’occuper des autres ?

C’est une question effectivement que l’on peut se poser, que je me suis souvent posé.

Aujourd’hui j’ai pris le parti de suivre les enseignements qui nous viennent des peuples amérindiens. Un enseignement qui est assez simple, qui part du 1 jusqu’au 9.

Le 1 étant l’individu. Si le 1 est fort et stable et bien il est en mesure de pouvoir créer le 2, donc le couple.

Et si ce couple, ce 2 est suffisamment fort et stable il peut accueillir l’enfant, qui va créer le 3.

Si ce 3 est suffisamment stable, il peut parfaitement s’intégrer au 4 qui est la famille étendue. Intégrant les grands-parents, les demi-sœurs et demi-frères, les oncles et tantes etc.

Et ainsi on va monter comme ça jusqu’à arriver au 9 qui est l’aboutissement de l’Être stable que nous sommes, incarné au sein de l’univers et relié au grand tout.

Alors oui s’occuper de soi, cela nous demande d’aller prendre soin de santé physique émotionnelle, psychologique, énergétique et spirituelle. 

Mais finalement, n’est ce pas le moyen d’être une ressource pour les autres et puis de retrouver notre autonomie.

A bientôt.

A quoi sert l’Expérience ?

Capsule 2

Pourquoi faire tout un tas de chose alors que je pourrais me satisfaire simplement d’Être. C’est d’ailleurs une rhétorique utilisée dans la pratique spirituelle.

Toutefois avant de pouvoir être pleinement accompli, un être humain a besoin de vivre des expériences. C’est un moyen pour lui de passer du savoir à la connaissance.

Le savoir c’est le fruit d’une transmission, d’un récit donc cela reste très superficiel, très théorique. Alors que si je fais l’expérience de ce savoir cela devient une connaissance. Chacune de mes cellules va se souvenir de cette expérience.

Par exemple : Un enfant à qui l’on explique que mettre ses doigts sur la flamme d’une bougie ça va faire mal va systématiquement aller faire l’expérience de cela et c’est grâce à cette expérience qu’il va se souvenir que cela fait mal et que ce n’est pas bon pour lui.

Parfois on fait l’expérience de quelque chose qui nous est négatif ou pathogène et puis malgré tout on réitère la situation.

Par exemple : je suis en couple avec une personne violente, je me sépare et je vais retrouver une autre personne qui est violente. C’est toutefois une expérience où l’on se dit : « ce n’est pas possible, je sais que c’est comme ça et pourtant j’y retourne »

Ça nous montre, en tout cas, qu’il y a quelque chose de plus fort que nous, un blocage psychologique, peut-être transgénérationnel qui nous empêche de nous libérer de cela. Et peut-être qui nous montre que j’ai quelque chose à transcender, quelque chose de plus grand.

Alors que ce soit bon ou mauvais il existe des outils bien évidement pour se libérer des blocages.

Vivre l’expérience ne serait-il pas le moyen pour moi de savoir ce qui m’est favorable de ce qui m’est pathogène ?

Alors j’ai envie de vous dire : Osons être comme des enfants, osons nous bruler un petit peu.

Qui veux tu Être ?

Capsule 3

On pense souvent que ce sont les autres, l’éducation, les institutions qui déterminent ce que nous sommes.

Il est vrai que l’environnement dans lequel on vit va influer sur notre bien-être, sur nos émotions, sur tout un tas de choses bien évidemment. Toutefois si je prends le temps de me regarder en face et bien je peux me dire que le seul responsable de qui je souhaites être, qui je veux être et bien c’est moi.

Je peux choisir, faire le choix de m’occuper de mon corps. En choisissant la nourriture et les boissons que je mets dans mon corps je fais le choix de ce que je vais devenir demain. Sachant qu’avec le renouvellement cellulaire tout ce que je mets dans mon corps va devenir ce que je serais demain ou peut-être plus que demain, car parfois cela prend un plus de temps.

Ça marche aussi pour tout ce qui est médication, chimie etc…

Donc je peux déterminer un moment et faire le choix de me dire : « est ce que j’ai envie de faire de mon corps un TEMPLE ou est ce que j’ai envie d’en faire une POUBELLE ?! »

De la même façon je peux me dire aussi comment je vais entretenir mes pensées. Pour avoir des pensées plutôt favorables, positives qui sont belles plutôt que d’avoir des pensées négatives qui tournent en boucles et qui dégagent une énergie négative pour moi et pour le reste du vivant.

Je peux faire la même chose pour mes actes, pour mes gestes, pour mes paroles.

Donc il est important je pense, en tout cas pour moi il est important un moment donné de faire le choix de s’accorder ce temps et de se dire : « Qui j’ai envie d’être demain ? Qui je veux devenir ? Est-ce que je veux être un homme Bon une femme Bonne où quelqu’un d’autre ? »

A bientôt